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Le grand voyage de la huppe fasciée
04:11

Le grand voyage de la huppe fasciée

Plongez au cœur du fabuleux périple de la huppe fasciée, cet oiseau au plumage mordoré et à la crête éclatante, qui traverse des milliers de kilomètres entre l’Afrique brûlante et nos jardins paisibles. Ce récit nous entraîne dans son voyage migratoire, une odyssée pleine d’embûches et de merveilles, portée par le souffle des vents et l’appel ancestral du printemps. Au fil des pages, on suit ces deux petites huppes, d’abord bercées par les savanes africaines, puis défiant les étendues arides du désert et le tumulte des terres humaines, jusqu’à retrouver leur refuge familier. Ce retour annuel n’est pas qu’un simple voyage physique, c’est aussi une métaphore puissante de la quête intérieure, un appel à écouter les murmures du vent et à s’éveiller à sa propre lumière. La huppe, oiseau mythique, a traversé les âges et les cultures comme un messager mystérieux : messager des anciens en Égypte, guide des âmes en Perse, symbole de sagesse et de métamorphose en Grèce. Elle invite à la réflexion, au dépassement de soi, et à la transformation. En s’installant dans un jardin, elle nous rappelle que le voyage ne s’arrête jamais vraiment. Il se poursuit en chacun de nous, sous la forme d’un chemin intérieur que nous hésitons parfois à emprunter. Peut-être est-il temps, à son contact, d’oser le grand saut dans l’inconnu et de retrouver notre propre vérité. Cette histoire est un hymne à la nature, à la résilience, et à la sagesse cachée dans chaque battement d’aile. Une invitation douce et inspirante à renouer avec notre essence profonde, à accueillir le changement, et à marcher vers la lumière.
Pourquoi je n'aime pas Descartes
03:02

Pourquoi je n'aime pas Descartes

Dans ce texte poignant, Porcus, un cochon anonyme, prend la parole pour dénoncer la vision mécaniste de René Descartes qui nie l’âme et les émotions des animaux. Porcus raconte son quotidien sombre, enfermé dans un bâtiment où il n’a jamais vu la lumière du jour, entouré de centaines d’autres semblables. Pourtant, il ressent la chaleur de ses compagnons, la peur qui le serre quand il entend les cris de ceux qui partent vers l’abattoir, et la joie fragile d’un rayon de lumière qu’il peut suivre du regard. Ce récit met en lumière la grande dissociation chez les humains : ils aiment leurs animaux de compagnie, s’émouvant devant un dauphin échoué, mais ferment les yeux face à la souffrance des animaux d’élevage qu’ils consomment. Cette indifférence n’est pas tant de la cruauté que de la facilité : il est plus simple d’ignorer la réalité que de l’affronter. Des justifications comme “ça a toujours été comme ça” ou “j’achète bio, ça va” masquent un refus de voir. Porcus interroge aussi les “Descartes modernes” — ceux qui aujourd’hui encore affirment que les animaux ne souffrent pas vraiment, que la viande industrielle est une nécessité, ou que la tradition excuse tout. Il lance un appel sincère : “Si je n’étais qu’une machine, pourquoi est-ce que je ressens tout ?” Ce texte est un cri d’alarme pour ouvrir les yeux, regarder la vérité en face et dépasser la facilité du déni. Il rappelle que nier la souffrance animale, c’est repousser le problème, qui finira par ressurgir sous des formes plus violentes. Porcus ne demande pas à être sauvé, mais à être vu. Parce qu’une fois qu’on voit, on ne peut plus faire semblant. Ce récit invite à une prise de conscience honnête et à une réflexion profonde sur notre rapport aux animaux, à la consommation et à la compassion.

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